« Une ligne entraîne l’autre, toujours… je dessine quelque chose qui me donne subitement l’idée de dessiner quelque chose d’autre qui me donne aussitôt l’envie de dessiner, etc. Voyez-vous, je dessine, puis je réfléchis. Pour moi, c’est une activité littéraire, morale. »
Saul Steinberg

11.3.11

L’adieu à Richard ?

Léa est sous la douche.
Ristourne s’est couché sur le livre ouvert aux pages 174-175. Le bas de la page 174 est en vue et saute aux yeux de Maurice :
« Un soir, j’ai pris tous mes papiers, pages éparses ou en liasses, calepins et blocs-notes, classeurs et polycopiés de cours et de conférences, tout ce que j’avais couvert de mon écriture ; je suis sorti de la maison, je les jetés au fond du jardin, sur le tas de compost et j’ai enfoui le tout, en alternance, sous une couche de terre et de feuilles décomposées. »

Décidément Richard Cœur de lion a du plomb dans l’aile.